Dévoilement d’une plaque en mémoire de Charles Aznavour - Jeudi 16 mai
Évènement
Mise à jour le 07/05/2024
Le 22 mai 2024, le chanteur, auteur-compositeur franco-arménien Charles Aznavour aurait eu 100 ans. A cette occasion, la mairie du 9e a le plaisir de vous convier au dévoilement de plaque en mémoire de
Charles Aznavour
(1924-2018)
Chanteur, auteur-compositeur franco-arménien
Jeudi 16 mai
à 11h
22 rue de Navarin
à 11h
22 rue de Navarin
Avec la présence exceptionnelle de Nicolas et Kristina Aznavour, de Hasmik Tolmajian, ambassadrice d'Arménie en France, du collège Condorcet & d'élèves de la Rock School de Paris
Image :
Crédit photo :
Nicolas Aznavour
Charles Aznavour
A l'occasion de son centenaire, la mairie du 9e dévoile une plaque en mémoire de cet artiste à la carrière internationale au 22 rue de Navarin où il vécut durant la Seconde guerre mondiale avec sa famille qui hébergea clandestinement les résistants Mélinée et Missak Manouchian entrés au Panthéon le 21 février 2024.
Charles Aznavour connaissait chaque rue de notre arrondissement qu'il aimait tant, de ses années où il vécut rue de Navarin, à l'Olympia qui fut le cocon de ses plus beaux concerts en passant par ses bureaux de la rue Rossini, il se sentait dans le 9e comme chez lui.
Charles Aznavour représentait le plus beau visage de la France. La terre d'accueil qui permit à ses parents Misha et Knar de trouver refuge et d'élever leurs enfants sereinement après avoir fui le génocide arménien en Turquie. Il portait en lui les valeurs fondamentales de la République et ne l'a jamais reniée. Le chanteur franco-arménien fut un des tous premiers à exploiter tous les styles de musique, créant ainsi un véritable métissage musical.
Si l'interprète de « la Bohème » n'était pas un militant, il était cependant un porte-voix pour tous les Arméniens qui furent déracinés. Fait citoyen arménien en 2008, il devient en 2009 ambassadeur d'Arménie en Suisse, où il résidait. Cet attachement pour l'Arménie s'est accentué tout au long de sa vie, au fil de ses rencontres dans le quartier de la petite Arménie - autour du square Montholon- dans le 9e, où il était devenu une figure emblématique.
Charles Aznavour connaissait chaque rue de notre arrondissement qu'il aimait tant, de ses années où il vécut rue de Navarin, à l'Olympia qui fut le cocon de ses plus beaux concerts en passant par ses bureaux de la rue Rossini, il se sentait dans le 9e comme chez lui.
Charles Aznavour représentait le plus beau visage de la France. La terre d'accueil qui permit à ses parents Misha et Knar de trouver refuge et d'élever leurs enfants sereinement après avoir fui le génocide arménien en Turquie. Il portait en lui les valeurs fondamentales de la République et ne l'a jamais reniée. Le chanteur franco-arménien fut un des tous premiers à exploiter tous les styles de musique, créant ainsi un véritable métissage musical.
Si l'interprète de « la Bohème » n'était pas un militant, il était cependant un porte-voix pour tous les Arméniens qui furent déracinés. Fait citoyen arménien en 2008, il devient en 2009 ambassadeur d'Arménie en Suisse, où il résidait. Cet attachement pour l'Arménie s'est accentué tout au long de sa vie, au fil de ses rencontres dans le quartier de la petite Arménie - autour du square Montholon- dans le 9e, où il était devenu une figure emblématique.