Exposition "Paris, paysage mental"
Évènement
Mise à jour le 24/12/2025
Du 5 au 30 janvier, Salons Aguado Mairie du 9e
Avec "Paris, paysage mental", le photographe Stanislas Liban propose une immersion silencieuse dans les hauteurs de la capitale, depuis ce point de vue où la ville se détache légèrement du réel.
En marge des images de carte postale, les photographies de Stanislas Liban développent une poésie urbaine, où Paris s'observe comme un territoire d'introspection plutôt qu'un décor reconnaissable.
L'artiste construit son récit sur les strates d'une ville suspendue à nos projections. Ses photographies n'illustrent pas Paris : elles le transforment. Les toits, les façades, les reflets et les ombres orchestrent un parcours silencieux, où l'espace extérieur ouvre une fenêtre intime.
L'artiste construit son récit sur les strates d'une ville suspendue à nos projections. Ses photographies n'illustrent pas Paris : elles le transforment. Les toits, les façades, les reflets et les ombres orchestrent un parcours silencieux, où l'espace extérieur ouvre une fenêtre intime.
Stanislas Liban
Né en 1982, Stanislas Liban vit et travaille à Paris. Photographe indépendant, il développe depuis plusieurs années une œuvre centrée sur la perception, l'attente et la poésie urbaine. Son travail s'est récemment incarné dans Take/Away (2024), une exposition où se dessinent déjà les lignes de force de sa démarche : une attention aux détails du quotidien, aux tensions entre mouvement et immobilité, et aux fragments de réalité chargés d'imaginaire.
Lauréat de la Grande Commande Photographique de la Bibliothèque nationale de France en 2022, il poursuit un travail où la lumière, la temporalité et la mémoire jouent un rôle structurant. Ses séries - L'Intervalle, Là où tombe la lumière, Fragments, Neon Dust - interrogent les formes du paysage contemporain et la manière dont elles se chargent de résonances sensibles. A la frontière du documentaire et de l'abstraction, son approche donne naissance à des images silencieuses et habitées.
Lauréat de la Grande Commande Photographique de la Bibliothèque nationale de France en 2022, il poursuit un travail où la lumière, la temporalité et la mémoire jouent un rôle structurant. Ses séries - L'Intervalle, Là où tombe la lumière, Fragments, Neon Dust - interrogent les formes du paysage contemporain et la manière dont elles se chargent de résonances sensibles. A la frontière du documentaire et de l'abstraction, son approche donne naissance à des images silencieuses et habitées.
